Afmd

cette plaquette retrace le destin tragique de ces enfants ( dans les Landes)et de leurs parents happés par la barbarie nazie. Travail de recherche pour une modeste contribution au devoir de mémoire

Ni éligibles, ni électrices, les femmes françaises, à l'issue de la défaite de 1940, n'ont pourtant pas hésité, qu'elles que soient leurs conditions sociales ou culturelles, à refuser l'occupation, à contester la politique du gouvernement de Vichy, à s'engager dans la résistance ou à rejoindre et les forces françaises libres. elles ont rejoint les unités de l'armée d'Afrique.. D'autres, arrêtées, ont continué de résister dans les prisons, les camps. Cette ouvrage est le fruit du colloque de BERLIN du 8 au 19 octobre 2001.

Premier ouvrage donnant une étude minutieuse sur les 4 000 personnes fusillées comme otages ou après condamnation à mort. Pourquoi une surévaluation du nombre de fusillés, mise à jour de la stratégie répressive des diverses autorités allemandes et de Vichy. Les deux auteurs décrivent le sinistre parcours qui conduit les condamnés devant le peloton d'exécution. Ce livre éclaire un point majeur de l'histoire de l'Occupation en France

témoignage d'un soldat d un prisonnier de guerre dans un stalag allemand, entre juin 1940 et mars 1945.

Qui suis-je? Que sommes nous? Qui définit ce "nous"? … Chacun a des identités multiples. Selon les institutions et les organisations, à l'intérieur de la société étatique ou dans les champs transnationaux. Un vécu en partie déterminé par une mémoire individuelle, plus encore par une prétention " mémoire collective" qui est en réalité un vécu, un transmis.... Pensées, questions, ce livre nous fait réléchir sur la notion d'identité...

ce livre retrace à partir de l'évocation d'un certain nombre de témoignages de la part essentielle que des jeunes( filles et garçons) ont pris à la Résistance

PLe train fantôme, l'un des derniers convois de déportés (Femmes, Hommes, Enfants) qui mit près de deux mois, depuis son premier départ de Tououse, à transporter les prisonniers vers Dachau, En juillet 1944 et août, alors que la France se libérait, que l'aviation alliée bombardait les gares, les voies ferrées, que les maquis faisaient sauter des ponts, sabotaient les rails. Ce nom de "train fantôme" lui fut donné très tôt, parce qu'il ne cessait d'apparaître, de s'évanouir dans la nuit, de se recomposer, de réapparaître, avec son chargement de damnés, un peu comme le vaisseau fantôme des légendes. "Au bord d'une route, des enfants jouent sous une chaleur de plomb. Soudain, une rumeur brise le silence et l'emplit peu à peu: gémissements et plaintes. Puis une vision fait irruption dans l'espace: une colonne d'hommes et de femmes, à la démarche douloureuse. Ils ont été débarqués à Roquemaure, de l'autre côté du Rhône. Maigreur des silouettes, vide des regards. Une plainte enfle "à boire". Vite les soldats allemands intiment aux villageois de regagner leur maisons...une semaine après les volets sont réouverts sur les jeeps américaines...le convoi formé en juin 1944, devait arriver à Dachau le 28 Août 1944.... lire page 227 et 228. L'effectif page 229 et 230/ 690 déportés et 40 soldats allemands. 536 personnes sont immatriculées à Dachau..